Elisabeth Vigée Lebrun (1755; 1842) Ecole. Autoportrait Peignant Marie Antoinette

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Artiste : Elisabeth Vigée Lebrun (1755; 1842) atelier
Epoque : 19ème siècle
Style : Louis Philippe
Etat : Très bon état
Matière : Huile sur toile
Longueur : 100 cm, 114 cm avec le cadre
Largeur : 81 cm, 97 cm avec le cadre

Galerie PhC, Philippe Caudroit
Museumarte sas
31 rue Andre Beury
10000 Troyes
0662098900
Elisabeth Vigée Lebrun (1755; 1842) atelier. Autoportrait en train de peindre le portrait de Marie Antoinette Toile rentoilée de 100 cm par 81 cm Cadre de 114 cm par 97 cm Notre tableau est une reprise de même taille du célébrissime tableau peint en 1790, aujourd'hui exposé à la galerie des offices à Florence. Elisabeth Vigée Lebrun (1755; 1842) Elle est élève de son père, Louis Vigée, de J. Vernet et de Greuze. En 1776, elle épouse le célèbre marchand de tableaux J.-B. Lebrun. Elle devient en 1779 le peintre officiel de la reine, dont elle a laissé plus de 30 effigies (pour la plupart originales), et des dames de la Cour (Marie-Antoinette et ses enfants, 1787, Versailles). En 1783, elle est reçue à l'Académie (la Paix ramenant l'Abondance, 1780, Louvre). Personnage très parisien (son souper grec est resté fameux à travers toute l'Europe), elle exécute également de beaux portraits d'artistes comme celui d'Hubert Robert (1788, Louvre). Sous la Révolution, elle se réfugie à l'étranger (Italie, 1789-1793; Vienne, 1793-94; Saint-Pétersbourg, 1795-1802), devient membre de diverses académies (Académie de Saint-Luc à Rome, Académie de Saint-Pétersbourg), portraiturant la société des cours et des émigrés (Élisabeth Alexeevna,1798, musée de Montpellier). Rentrée en France en 1802, elle continue de voyager à travers l'Europe (Angleterre, en 1802-1805, où elle a rencontré B. West et admiré les œuvres de Reynolds ; Hollande, en 1805 ; Suisse, en 1808-1809). Dans la plus grande partie de ses portraits, l'artiste conserve le métier délicat du XVIIIè siècle. et y apporte la même sensibilité nouvelle que ses contemporains étrangers, tels P. Batoni ou A. Kauffmann : Mme Vigée-Lebrun et sa fille, 1786 (Louvre). Elle laisse plusieurs autres Autoportraits (Offices; Rome, Académie de Saint-Luc; Ermitage). Les musées français et russes conservent les deux plus grands ensembles de sa production. Dans l'histoire du goût français, Élisabeth Louise Vigée Le Brun tient la place du peintre des grâces, célèbre pour avoir mis à la mode une image flatteuse, de la société de la fin de l'Ancien Régime. L'«amie de la reine», comme l'ont appelée les historiens du XIXè siècle, a pourtant survécu à la civilisation chère aux Goncourt. Elle a laissé des écrits autobiographiques: ses Souvenirs (1835-1837), qui racontent sa vie année par année.